Les voyages (ar beajoù) forment la jeunesse (ar yaouankiz), dit-on souvent. Celle-ci étant comptée, il s’agit d’en profiter (dav eo tennañ splet diouti) ! Comme le dit la chanson, n’em eus nemet dek miz da roul’ va yaouankiz, je n’ai plus que dix mois pour rouler ma jeunesse…
Les voyageurs (ar veajourien) laissent parfois des traces (roudoù) de leur passage dans des textes (testennoù) ou des carnets de voyages (karnedoù hent). Les plus anciens voyageurs en Europe (Europa) comme le navigateur (an den a vor) Pythéas de Marseille ou encore le géographe (an douaroniour) Polybe nous donnent de précieux renseignements sur les peuples (ar pobloù) et leurs coutumes (o boazioù), mais aussi sur leur mode de transport (an treuzdougen). Pour voyager, il faut se déplacer (en em ziblasañ), soit à pied (war droad), à vélo (war velo), en voiture ou encore par les airs (gant an oto pe dre-nij). Le train (an tren) semble être le moyen de transport le plus écologique (an treuzdougen naturelañ, ekologelañ).
Voyager (beajiñ) est essentiel (ret) pour certaines personnes (evit tud zo) pour leurs affaires (al labour, ar c’henwerzh) en Europe notamment. Depuis 1995 et la création de l’espace Schengen (emglev Schengen), c’est un jeu d’enfant (ur c’hoariadenn) de voyager en Europe. Les frontières (an harzoù) ne sont plus gardées et 26 pays (c’hwec’h bro warn-ugent) sont accessibles sans visa.
L’Europe est donc à dévouvrir (diskoachañ) pour celui qui éprouve du plaisir (plijadur) à voyager.