Chaque année à la belle saison (en hañv), lorsque les températures remontent, on voit de plus en plus (muioc’h-mui) de gens enfiler (gwiskañ) leur combinaison de plongée (o sae-splujañ) et s’élancer sur les vagues (ar gwagennoù, an holiadennoù). Ils pratiquent le surf, le kitesurf (seurf, kiteseurf), le paddle ou la planche à voile (ar plankenn dre lienn). Les sports nautiques (ar sportoù-mor) attirent dès le plus jeune âge (an oad prim). Nul besoin d’aller bien loin (n’eus ket ezhomm mont pell…) pour trouver son bonheur (…evit kavout e eurvad) : dans chaque commune côtière (ar c’humunioù war bord ar mor) ou presque se trouve un centre nautique de loisirs (ur greizenn merdeiñ ha dudi). Au moins une cinquantaine d’entre-eux (un hanter-kant dioute) proposent des stages (stajoù) aux débutants (an deskarded) l’été.
Quel plaisir (pebezh plijadur) en effet de glisser (rinklañ) sur l’eau, de maîtriser (mestroniañ) la force du vent (nerzh an avel) pour avancer à toute vitesse (a-dizh hag a-dag) sur la mer !
Mais avant cela, il faut pouvoir rester debout sur sa planche (savet war e blankenn), et avoir assez de force dans les bras (awalc’h a nerzh en e zivrec’h) pour garder haut sa voile (e lienn). Pour les amateurs de kitesurf, il faut aussi veiller (dav eo diwall) à ne pas se faire emporter par le vent (bezañ kaset gant an avel) trop au large (en donvor), ou revenir trop vite (re vuan, fonnus) vers la plage, au risque de s’écraser (pladañ) sur le sable !